DE L' ACCUEIL PAROISSIAL A L ACCUEIL PASTORAL .
Introduction :
L'accueil pastoral recouvre des réalités aussi diversifiées que convergentes: permanences dans les paroisses, point-écoute pour jeunes, dialogues préparant à un sacrement, mais aussi nouvelles configurations de lieux d’accueil dans un rural ou un urbain en grande mutation sociologique et culturelle.
Evidemment, l’attitude pastorale de l’accueillant s’imprègne largement des lois fondamentales de l’écoute. Nous en évoquerons quelques-unes.
En même temps, cet accueil a des spécificités spirituelles qu’il convient également de souligner.
On trouvera matière à approfondir les enjeux de cette communication au service de l’autre et au nom d’un Autre. (Père Bernard Podvin, vice-recteur, vice-président).
L'ACCUEIL PASTORAL :
Risquons, dans un premier temps, quelques constats sociétaux et ecclésiaux :
1 - Jamais peut-être on n’aura tant exprimé le besoin vital d’être écouté.
Est-ce dû à ce que Paul Ricoeur appelle "la cruelle contradiction entre une hypertrophie de moyens et une atrophie des fins" ?
2 - Toujours est-il qu’une indifférence relationnelle est plus durement ressentie quand elle s’inscrit dans un contexte de société de communication suréquipée.
3 - Toute institution est aujourd’hui attendue avec particulière attention sur ce point crucial de la qualité de son accueil. A plus forte raison, quand ladite institution propose un certain sens à l’existence !
4 - L’opinion publique, très souvent brouillée avec le message théologique qui identifie l’institution pastorale, lira avec d’autant plus d’intensité, la manière d’accueillir le tout venant, comme "message dans le message", pour ne pas dire le message lui-même !
5 - La crédibilité d’une instance pastorale quelle qu’elle soit passe par le soin apporté aux éléments concrets d’une relation d’écoute.
Evidemment, il est tout un public qui ne verra dans la proposition religieuse qu’une prestation publique parmi d’autres, et se comportera envers l’Église comme envers une prestataire de service cultuel.
6 - La mobilité socioprofessionnelle et l’évolution culturelle qui en découlent rendent les personnes, les familles, d’autant plus attachées à ce qui symbolise l’enracinement, le relais de proximité.
La réorganisation des paroisses se fait dans les diocèses. Le défi est considérable de tenir une accessibilité des services d’accueil dans un contexte de diminution de prêtres et de pratique religieuse.
Plus la communauté pratiquante va se réduisant, plus elle doit déployer ces disponibilités d’accueil local.
7 - Toute personne connaît en son existence quantité de guichets administratifs, salles d’attente, lieux divers de démarche pour elle-même ou pour ses proches. Il n’est donc pas sans intérêt de s’appesantir, dans un document universitaire et pastoral qui se veut "guide de relecture", sur les caractéristiques de l’accueil.
Comme l’exprime fortement Jacques Turck, chargé de l’église Notre-Dame de Pentecôte à La Défense : "le simple fait d’avoir voulu se poser en plein coeur d’une cité d’affaires exprime, de la part de l’Église, un désir de présence et d’accueil à cette ruche effervescente dans laquelle 160.000 personnes viennent chaque jour travailler, inventer, communiquer, décider le présent et le futur de notre société".
Ce qui est dit de La Défense ne l’est-il pas de toute "ruche" où l’être humain s’active ?
�� Un premier diagnostic ��
Le fin connaisseur des relations humaines qu’est Maurice Bellet fait un vibrant plaidoyer pour une écoute d’autrui qui soit la plus désencombrée.
"On cherche le maximum, écrit-il, la compréhension et l’intelligence maximales qui permettent de lire en l’autre, les connaissances pratiques et théoriques qui ouvrent l’oreille. Or, en un sens, c’est d’abord du côté du minimum qu’il faut aller, du côté du "rien".
L’écoute pure, l’effacement du plus grand. Pour écouter, l’oreille doit être nue.
Ecouter, c’est être là, l’oreille ouverte, laisser se dire ce qui se dit".
�� L'oreille ouverte ��
Quel paradoxe ! Cet expert de la connaissance d’autrui invite au dépouillement.
Qu’il n’y ait cependant pas méprise !
Maurice Bellet n’incite pas à foncer tête baissée et à ignorer superbement les lois de l’écoute.
La pertinence est ailleurs : il demande à l’écoutant de bien s’approprier les repères et techniques
nécessaires, de les faire siens, mais de ne point les "absolutiser".
L’exigence posée est donc plus redoutable.
Nous sommes comme sur une ligne de crête, véritable ligne pédagogique ; ne pas tomber dans la paresse qui ne compte que sur le sens inné et ne le cultive guère, ne pas choisir davantage d’enfermer le regard et l’écoute dans un cadrage psychosociologique déterminé et déterminant.
�� Se former
L’écoute est d’autant plus libre qu’elle a consenti à se former.
L’écoute est d’autant plus forte qu’elle a consenti à traverser l’épreuve de l’incommunicable.
Une formation à l’accueil devra donc intégrer avec précision quelques éléments fondamentaux que
l’on peut citer sans prétendre à l’exhaustivité :
- connaissance de soi, de ses aptitudes et limites ;
- capacité de reformuler les expression d’autrui ; discernement sur l’empathie nécessaire
mais ajustée ;
- déontologie et confidentialité ; discrétion sur soi afin que l’autre soit écouté et non écoutant ;
- accueil serein de la complexité existentielle ;
- sens élémentaire de la médiation ;
- écoute d’autrui en sa globalité : paroles, gestes, mais aussi expressions diverses, sans oublier les
silences qui parlent tant !
- L’écoutant ne se fera pas censeur directif et glacial : il éveillera chez l’autre le sens d’une responsabilité, la prise de conscience des enjeux d’une décision.
- L’écoutant ne s’ingèrera pas en spécialiste : il renverra, si besoin est, à des adresses compétentes et cliniques.
Rien de plus dangereux que de se prendre pour l’expert que l’on n’est pas.
- L’écoutant n’oubliera pas cette chose qui peut sembler une lapalissade : chaque âge a ses caractéristiques psychoaffectives et spirituelles.
On n’écoute pas un ado comme on aiderait une personne âgée.
- L’écoutant n’omettra pas de refaire régulièrement ses forces. L’écoute,
si elle est intense, "pompe" l’individu qui se livre à cette activité !
La participation à un groupe de supervision sera amplement conseillée.
Rejoindre une équipe d’accueillants écoutants, être aidé par quelqu’un à hiérarchiser,dédramatiser, reformuler…
Surtout si l’on accomplit de nombreuses permanences d’écoute.
Ajoutons à ces quelques insistances, des éléments qui relèvent de l’écoute pastorale.
Dans la foi, c’est Dieu qui écoute son peuple, qui le connaît, qui lui répond.
�� Discerner
L’écoutant pastoral accomplit donc sa tâche comme une mission au nom de l’Autre. Il essaie d’être signe d’un Dieu qui accueille au-delà de la mesure que le témoignage humain peut incarner.
L’écoutant pastoral est membre d’une Église bien plus large que ses considérations.
Il engage plus que lui-même dans ses attitudes et ses réponses.
L’accueillant aura mission d’approfondir sa connaissance du discernement de l’Église universelle et de l’Église locale.
Pour aider la personne à s’orienter, se documenter, il veillera à ce que sa propre formation soit
ecclésiale et sans cesse affinée.
L’accueillant pastoral trouvera inspiration dans des références bibliques
telles que :
"Attention à la manière dont vous écoutez " (Luc 8,18).
"Attention à ce que vous entendez" (Marc 4,24).
"Les joies, les espoirs, les tristesses, les angoisses des hommes de ce temps, des pauvres surtout, et de tous ceux qui souffrent, sont aussi les joies et les espoirs des disciples du Christ. Il n’est rien de vraiment humain qui ne trouve écho dans leur coeur" (Concile Vatican II).
Evidemment chaque communauté locale essaie d’incarner ces dimensions à la mesure de ses moyens.
C’est là une tâche prioritaire pour le nouveau millénaire : susciter les volontés désintéressées et compétentes, ouvertes aux pluralités des demandes, enracinées dans une foi et une espérance très fortes.
Signalons que des formations à l’accueil existent :
On peut également consulter les programmes de l’Institut de Théologie Pratique ainsi que ceux du
Centre interdiocésain de Pastorale catéchétique.
Ces lieux diocésains et universitaires proposent des cours et sessions donnant capacité intellectuelle
et pastorale à ceux qui désirent servir des communautés accueillantes.
�� Aux sources de la Parole ��
Voici, à titre exemplaire, un dialogue dans l'Évangile entre Jésus et la Samaritaine.
On y trouve une profonde occasion de méditer sur la capacité d'accueil du Christ.
De quoi s'en inspirer largement pour notre pratique.
Voici un commentaire rédigé par le Père Vanderlinden. Il est particulièrement suggestif. (Le texte biblique est en Saint Jean 4, 1-42).
"Il est midi. Un soleil éclatant alourdit l’atmosphère. La petite troupe arrive aux portes de Sychar. Jésus est fatigué par la route, épuisé aussi par l’hostilité de plus en plus agressive des responsables
religieux, qui ne lui laissent aucun répit. Il s’arrête et s’assied quelques instants sur la margelle d’un puits qui s’offre à lui, pendant que ses disciples se proposent d’aller quérir un peu de ravitaillement.
Resté seul, Jésus a soif (soif physique), une première fois ; la seconde fois, sera surtout spirituelle,
celle de sauver tous les hommes.
Une femme survient, sa cruche sur l’épaule, événement anodin, sans signification particulière, au premier abord.
C’est le rôle des femmes, ou des enfants, d’acheminer l’eau des puits vers les maisons. Pauvre femme, triplement méprisée, pour sa condition féminine, pour son origine nationale et pour sa vie
morale, qui devait lui attirer plus de blâme que de sympathie, même au sein de son propre peuple. Cependant, cette femme va faire la rencontre de sa vie.
Parce qu’il la considère dans sa vérité de pauvre femme mal aimée, comme tant d’autres dans son cas, Jésus, qui regarde le coeur, prend l’initiative du dialogue.
Cette scène revêt pour l’évangéliste une double portée.
C’est la rencontre de Jésus et de l’âme pauvre qui va accueillir son sauveur ; c’est aussi l’occasion pour Jésus de donner à ses disciples ses premiers conseils en vue de la mission.
A travers cette femme de Samarie, c’est son peuple et, plus largement, le monde païen tout entier qui sont concernés.
Le dialogue s’engage très simplement par une demande de Jésus : "Donne-moi à boire ».
Cette simple parole, si banale, surprend la femme étonnée de cette double rupture avec des
conventions sociales bien ancrées.
Non seulement l’hostilité dont les Juifs font preuve à l’égard des Samaritains, et la haine qu’elle nourrit, interdisaient de tels contacts, mais l’hypocrisie sociale, en plus, stigmatisait comme malséant qu’un homme s’adresse à une femme en public.
Mais Jésus, qui ne s’encombre pas de ces conventions superficielles, a conscience d’avoir devant lui une personne humaine, qui a besoin d’être reconnue, comprise et aimée telle qu’elle est, avec
peu de qualités, peut-être, et même d’énormes défauts.
Par la simple demande qu’il lui adresse, Jésus élève déjà cette femme.
Elle ne se doute pas que Jésus, en échange d’un peu d’eau du puits, va lui proposer l’eau
qui assure la Vie en abondance. Ce qui l’intéresse d’abord, c’est que quelqu’un a besoin d’elle, que la plupart des gens considèrent comme un rebut de l’humanité.
La première réaction de la femme est toute matérielle ; elle songe seulement à l’eau du puits ; son entendement ne vas pas au-delà.
Mais, à l’appel de Jésus, qui l’invite à accéder à un autre plan, elle va évoluer très vite vers des
considérations moins terre à terre. Tout en soupçonnant qu’elle se trouve plongée en plein mystère, face à un personnage exceptionnel, la femme reste un moment engluée dans son contexte matériel.
Elle est très intéressée par l’eau intarissable que cet homme lui propose : que de corvées fastidieuses lui seraient épargnées.
Mais quand bien même sa demande relative à cette eau merveilleuse serait très matérielle intéressée, c’est déjà la première étape de la conversion de cette femme qui se met à l’égard de Jésus dans une position d’attente.
En faisant mine de changer de sujet, Jésus va faire opérer à cette femme un pas décisif vers la compréhension profonde de la révélation du mystère de sa personne. Parce que Jésus met en question sa vie privée, par où il montre sa connaissance profonde de l’intimité du coeur, la femme y décèle le signe d’une puissance plus qu’humaine elle soupçonne qu’elle se trouve en présence
d’un prophète, quelqu’un qui est envoyé par Dieu avec mission de parler en son nom.
La réaction de la femme est bien compréhensible, pour lui poser un problème religieux préoccupant ; le lieu opportun pour adorer Dieu faisait l’objet d’une contestation entre Juifs et Samaritains.
C’est vraiment pour la femme le deuxième pas vers la conversion.
S’avançant délibérément sur le plan religieux, elle interroge Jésus sur la valeur du culte à rendre à Dieu ; sincèrement, elle désire apprendre d’un homme de Dieu son opinion sur la manière de l’adorer valablement.
La réponse de Jésus manifeste son intention d’intérioriser la religion ; ce n’est pas le lieu, mais le coeur qui donne sa valeur à l’adoration.
Adorer en esprit, c’est vivre de cet Esprit que Dieu donne et faire en sorte que toute la vie soit sous la mouvance de cet Esprit.
Adorer en vérité, c’est reconnaître que vivre de l’Esprit n’est possible que dans la fidélité
à une adhésion loyale au Seigneur. Les vrais adorateurs de Dieu sont ceux qui vivent de lui en recevant son Esprit et qui vivent pour lui dans la fidélité.
La femme comprend que ce prophète, en se désolidarisant encore une fois des opinions courantes et bien acceptées, se situe en fait au-dessus de la contestation ; soupçonnant un être tout à fait
exceptionnel, elle tente une conjecture, qui va la conduire au sommet du dialogue
et provoquer la révélation finale de Jésus sur son être même ; l’atmosphère dans laquelle elle se trouve prise depuis un moment lui fait pressentir ce qu’elle croit être un caractère de messianisme.
La réponse brève de Jésus ne peut manquer de nous rappeler la scène du Sinaï, où Dieu s’est révélé à Moïse en ces mêmes termes : "C’est moi".
Cette révélation suprême, mais combien mystérieuse, est d’ailleurs devenue un fil conducteur de la théologie johannique.
Aussitôt qu’elle est parvenue à la foi, cette femme va, sans tarder, proclamer son témoignage, en insistant sur l’aspect personnel qui a provoqué en elle un bouleversement : "Il m’a dit tout ce que j’ai fait".
Cette connaissance profonde que Jésus lui montrait avoir de son être intime l’a révélée à elle-même et fut à la base de l’aboutissement rapide de son évolution spirituelle.
Dès qu’elle a reçu la révélation suprême, cette femme n’a de cesse qu’elle n’ait partagé sa découverte ; loin de la garder jalousement pour elle, elle devient messagère de la Bonne Nouvelle et entraîne son peuple à faire la même découverte, tant il est vrai que la vérité ne supporte pas d’être enchaînée, au contraire, elle cherche à se communiquer largement, parce qu’elle est porteuse de vie et possède en elle-même une force divine qui libère ceux qui l’accueillent".��
(Père Vanderlinden, professeur de sciences religieuses en Belgique.)
Témoignages & Expériences de vie :
• Une étudiante :
"J’ai été aidée par le service d’accueil psychologique.
Ce n’était pas évident de me décider à franchir cette porte. Je me sens mieux. Il y a beaucoup à faire. Mais je décrypte plus sereinement mon histoire".
• Un jeune couple :
"Nous venions à la paroisse avec des pieds de plomb. La religion n’est pas notre fort. Nous pensions être jugés sur notre situation familiale. Nous avons été reçus par une personne disponible, marquant beaucoup de compréhension. Pour nous, c’est certain, le visage de l’Église a changé".
• Une bénévole :
"Je voudrais consacrer du temps à l'écoute gratuite des personnes. J'ai mené une vie professionnelle dingue dans laquelle les dimensions relationnelles ne comptaient pas".
* Un écoutant anonyme téléphonique dans une association SOS :
"Etre là tout simplement au bout de ce fil parfois si fragile, ce fil souvent rompu avec tant de monde. Permettre à l'interlocuteur de livrer ce qu'il a sur le coeur. Proposer quelque apaisement".
• Une personne hospitalisée :
"Quand tout s'écroule en soi, le petit geste accompli par le personnel soignant, le petit rien signifié par un écoutant devient inestimable. Sentir qu'on nous accompagne dans les hauts et les bas de la maladie, dans les pertes de confiance, dans les moments où l'on veut parler et raconter sa vie, dans les périodes où l'on se révolte, dans les instants de silence et de recueillement".
• Des parents de lycéens :
"Nous aimerions lancer une structure d'accueil et d'aumônerie pour les jeunes.Nous avons bénéficié dans nos "années lycée" d'une écoute à la fois bienveillante et exigeante. Nous pensons que c'est capital pour chaque génération".
• Un pharmacien :
"J'ai l'impression de remplir aujourd'hui un rôle d'écoute et de confidence qui dépasse largement ma compétence professionnelle".
Récapitulatif :
Les gens ont besoin de se confier, de dissiper leurs angoisses, de trouver du sens. Aujourd'hui, dans différents lieux, est ressentie une immense envie de parler, d'être écouté. Voici quelques échos d'écoutants et d'écoutés.
Sans prétendre conclure, donnons la parole à ce prêtre accompagnateur spirituel :
"L’écoute est primordiale. C’est un véritable ministère.
Tous doivent être écoutés !
Le prêtre, le diacre, le religieux, le laïc, qui vivent ce service de l’accueil sont des sourciers d’espérance.
Ils aident chacun à mieux se reconnaître comme étant aimés de Dieu".
Sourciers de cette espérance dont France Quéré disait :
"Elle guette des signes qui ne sont pas plus qui, comme dit le psaume 145 "protège l’étranger, aime les justes et redresse les accablés".
On l'aura compris à la lecture de ce dossier. Les communautés qui se réfèrent à l'Évangile ne développent pas seulement l'accueil par mimétisme social.
Elles permettent, par cette pastorale du seuil, selon l'expression de Jean-Paul II, de
rendre un peu plus "Dieu à l'homme et l'homme à Dieu".
Elles participent à un certain prophétisme de gratuité et d'écoute.
Même moins gros que des grains de poussière, c’est bien assez pour elle !"
Accompagner, accueillir, écouter, ce n’est ni juger ni cautionner.
C’est ouvrir un chemin exigeant et exaltant.
Quand, dans les sondages, on demande aux gens sur quels sujets ils désirent que l’Église s’exprime, on découvre souvent un décalage important.
La vie des hommes intéresse pourtant profondément l’Église !
La vie des hommes est entre les mains de Dieu !"
�� Bibliographie ��
• Maurice Bellet, L’écoute, Editions Desclée de Brouwer, Paris, 1989.
• Alfred Vanesse, Écouter l’autre, tant de choses à dire, Chronique sociale de Lyon.
• Paroisscom. Guide pratique de la communication à l’usage des communautés chrétiennes, 1ère édition 1996, 2ème édition, 2002.
• Annoncer l’Évangile aux hommes de notre temps, Paul VI, 1975.
• Les laïcs fidèles du Christ , Jean-Paul II, 1989.
• Dossier sur l’Accueil in Prêtres diocésains, décembre 2002.
• Les dossiers de la revue Vues d’ensemble :
• Vers une société pour tous les âges (janvier 2004) ;
• Jeunesse(s) (avril 2004) ;
• Religions (juillet 2004).
• L'accueil paroissial, Bernard Podvin, coll. "Vivre. Croire. Célébrer", Éditions de l'Atelier, Paris, 2004, 128 p.
• Lettre pastorale de Mgr Defois écrite en lien avec le Conseil diocésain de Pastorale de Lille, 2004.